3 rendez-vous à ne pas manquer 

• 9 juillet : The Mark of Cain de Alix Lambert (2000) 

Le documentaire explore le monde des prisons russes à travers les tatouages des détenus, véritable langage codé racontant leur histoire, leur statut social, leurs crimes et leur résistance. Le film dévoile ainsi une micro-société carcérale où chaque marque est porteuse de sens et offre un regard sur le système carcéral russe à travers des entretiens avec les détenus, gardiens et criminologues. 

• 23 juillet : Tatouage de Yasuzō Masumura (1966) 

Bijou du cinéma japonais d’après-guerre, “Tatouage” mêle drame et critique sociale, avec un esthétisme très fort. Entre beauté et obsession, ce classique japonais explore le tatouage comme art et marque indélébile de transformation. 

Synopsis : Découvrez l’histoire d’Otsuya, une jeune femme fuyant sa famille, après qu’elle ait rejeté sa relation amoureuse. Logé chez un ami, le couple est trahi par ce dernier et Otsuya est vendue à une maison de geishas. Son destin fatal prendra fin le jour où un tatoueur lui marque une araignée dévoreuse sur le dos, animant en elle une soif de vengeance. 

• 6 août : L’Atalante de Jean Vigo (1934) 

L’Atalante est un film qui célèbre les individus à la marge et qui transforme une histoire banale en conte onirique. Un chef-d’œuvre poétique et intemporel, où le tatouage devient un détail étonnant dans un monde de liberté et de voyage. 

Synopsis : Découvrez l’histoire de Juliette, femme d’un marinier séduite par les artifices de la vie parisienne, fuyant la monotonie de sa vie sur la péniche « l’Atalante ».

Une ambiance chill & immersive 

Installez-vous confortablement sur des chaises, transats, ou même à même le sol dans la cour du Castelet. Les places sont limitées, alors venez tôt et profitez d’une ambiance unique, entre cinéma engagé et patrimoine historique.